KAYA continue son principe de transmission des musiques traditionnels.
Le 18 juillet à la Poudrière d’Embrun, un atelier autour et animé par Andréa Ferroni était proposé. Les participants ont ainsi pu se familiariser, s’initier, dompter cet instrument venant des aborigènes d’australie. Généralement taillé dans de l’eucalyptus, le didgeridoo est un instrument de musique à vent. À l’origine, cet instrument est joué par les Aborigènes du Nord de l’Australie, son usage semble très ancien, certains prétendent qu’il pourrait remonter à l’âge de la pierre (20 000 ans), d’après une p
einture rupestre ancestrale, représentant un joueur de didgeridoo, analysée au carbone 14. C’est une trompe en bois, lointaine cousine du cor des Alpes ou du tongqin tibétain. (source wikipédia http://fr.wikipedia.org/wiki/Didgeridoo).
Le terme didgeridoo est d’origine occidentale mais les Aborigènes le nomment différemment en fonction de leur ethnie. Parmi la cinquantaine de noms, les plus courants sont : yidaki, mooloo, djubini, ganbag, gamalag, mago, maluk, yirago, yiraki, et Jumbai etc.
Après avoir essayer de maîtriser son souffle, donner des coups de langue de manière agile ou de presser les lèvres admirablement sur l’instrument, chacun et chacune a pu écouter et se laisser aller aux sonorités diffuser par Andréa Ferroni.